Après la nostalgie des 60’s, 70’s et 80’s, c’est enfin au tour du revival 90’s de débarquer en France. Certes, il y avait bien eu quelques artistes eurodance invités occasionnellement (Corona à Culture 90, Haddaway et Dr Alban à We’re the 90s...) à Paris, mais cette fois c’est le Sud de la France qui va accueillir la première grande soirée célébrant les années 90. Les organisateurs de
Legends 90 ont convié sur scène :
Gala, Haddaway, Snap, Technotronic, Worlds Apart, Ménélik et
Bouga, ainsi que le chanteur
Bernard Minet à la présentation de cette soirée. Celle-ci s'est déroulée le 14 août 2010 au
Théâtre Antique d'Arles, et non au lieu initialement prévu : la Carrière Val d'Enfer (Les Baux de Provence). Elle devrait être suivie d’une tournée dans plusieurs villes de province.
21h05.
Bernard Minet fait son entrée sur la mélodie de "Children" de Robert Miles puis de "Feel it" par The Tamperer devant le millier de spectateurs venus revoir leurs idoles des années 90. Le présentateur annonce le déroulement de la soirée
The legends 90's. "J’ai l’habitude de commencer par un morceau des Inconnus" prévient-il avant de chanter le morceau en question,
Salut bande de tarés, et de passer à son plus gros tube
Bioman.
Site officiel de Bernard Minet
Bouga
21h15. "Marseille est dans la place" lance
Bernard Minet à un public sudiste chauffé à blanc. L’animateur annonce la venue de
Bouga et
Dj Djel. Les deux hommes arrivent sur scène et chauffent les spectateurs en enchaînant les Bou-ga ! Bou-ga ! Bou-ga ! Le rappeur salue le public : Salam alikoum ! Welcome ! Kenavo ! et remercie Bernard pour son introduction élogieuse.
Les premières notes de la musique du film "Comme un aimant" d’Akhenaton sont rapidement interrompues. Le rappeur méditerranéen fait signe au dj de faire une pause en plaisantant : "Tu démarres jamais avec la crème ! Tu démarres avec un truc un peu plus noir ! Tous les bras en l’air !". Tous les bras sont en l’air sur ce premier morceau qui sonne très rap US.
On vient de Marseille, et à Marseille...Bad boys !!!! Le morceau suivant est donc
Bad Boys de Marseille, le hit d’Akhenaton qui est parfait pour commencer tran-qui-le... Bouga est d’ailleurs en tongs durant ce spectacle.
Bouga demande ensuite à
Dj Djel : Qu’est ce que tu as en magasin dj ? Le rappeur marseillais chante alors son nouveau titre
Où sont les... avec l’intro qui sample le "...ready to rumble ?". L’idée de ce morceau bien dancefloor est simple : le rappeur à l’accent méridional répond à ses potes qui demandent en boucle "Où sont les... ?"
Le duo phocéen passe ensuite à une autre chanson. "...Pour ceux qui connaissent la
Funky Family", précise
Dj Djel, ancien dj de ce grand groupe du rap marseillais. Ils nous font un autre titre dont les références nous ont échappé.
Puis,
Bouga ravie le public en reprenant le tube d’I am
Je danse le mia. Entre les morceaux, le rappeur assure le show et passe enfin à son morceau le plus connu sorti en 2000.
Belsunce breakdown est joué dans une version rallongée. Après un final au son des cornes de brumes, Bouga remercie le public de son accueil ainsi que Bernard Minet pour sa présentation.
MySpace de Bouga
Le chanteur français des plus grands mangas revient sur la scène d’Arles faire plaisir à son public provençal.
Bernard Minet précise qu’en 1992, il y avait "L’école des champions"... et qu’en 1993 c’était
Olive et Tom. C’est ce dernier générique qu’il nous chante ce soir. Les cœurs oh oh oh sont repris par le public. Puis, Bernard se retourne vers le jeune homme derrière ses platines "Qu’est ce que tu nous fais maintenant dj
Rocco ?". Celui-ci répond qu’il a concocté une petite session à l’ancienne. Le dj enchaîne alors plusieurs tubes hip hop de l’époque (Snoop Dogg, Will Smith...).
Ménélik
21h50.
Bernard Minet vient présenter un autre rappeur que nous avons connu dans les années 90 :
Ménélik. Dans son t-shirt blanc, le jeune homme d'origine camerounaise commence avec un titre de circonstance
Je me souviens. Après ce passage plus mélancolique, Ménélik invite le public à danser sur son premier hit
Quelle aventure.
Le rappeur français plaisante ensuite en racontant "J’ai connu une fille dans les années 90 qui m’a pris la tête...". La chanteuse
Myas vient alors l’accompagner pour son plus gros tube à ce jour
Bye bye. La jeune femme qui l’accompagne depuis 1997 s’adresse à la gente féminine "Est-ce qu’il y a des filles ce soir ?". Elle instaure une bonne ambiance dans le public.
Le duo passe ensuite au quatrième morceau de sa prestation avec
Tout baigne. Le duo fonctionne d’ailleurs toujours bien sur scène et multiplie les chassés-croisés et les joutes verbales en musique. En coulisse,
Ménélik nous confirme que tout baigne pour lui et qu’il est content d’être là ce soir. TF1 l’aurait convié à une tournée de ce genre, actuellement en préparation.
MySpace de Ménélik
Nous rencontrons
Snap en coulisses, où le groupe se relaxe avant leur prestation en buvant champagne et red bull. Un des organisateurs vient leur demander de réduire de quelques minutes leur prestation. "Mary had a little boy" passe à la trappe.
Penny Ford et
Benjamin Lowe est un duo très sympathique et manifestement enchanté de se produire dans notre beau pays. Ce qui est rare, contrairement à nos voisins anglais et allemands qui les accueillent fréquemment. Ils seront toutefois à la Halle Freyssinet (Paris) le 23 octobre 2010.
Pendant ce temps, le public du
Théâtre Antique est toujours aussi survolté. Le laser vert balaie les gradins ainsi que la fosse de l’arène tandis que de la fumée recouvre toute la scène de
Legends 90s.
Technotronic (MC Eric)
Leurs tubes dans les 90s :
Le producteur belge Jo Bogaert se cache derrière se projet qui date de l’époque du New Beat. Les artistes qui se sont succédés pour représenter le groupe sont nombreux. Il y a eu Felly, MC Eric, Melissa & Einstein, Reggie (Rejane Magloire), Ya Kid K, Daisy Dee, Black Diamond et Monday Midnite.
Technotronic a signé une quinzaine de hits dans les années 90s dont leurs premiers tubes dans un style new beat : "Pump up the jam", "Get up (Before the night is over)" et "This beat is Technotronic". Le groupe a ensuite fait de l’eurodance, à partir de 1993, avec les hits "Hey yoh, here we go", "Move it to the rhythm", "Recall", "I want you by my side" et "It's alright".
Technotronic a enregistré trois albums studio "Pump up the jam" (1989), "Body to body" (1991) et "Recall" (1995). Le groupe a aussi sorti plusieurs best of et albums de remixes.
Depuis la fin des 90s :
Au tout début des années 2000,
Technotronic a sorti 4 nouveaux singles passés quasiment inaperçus. Il s’agit de "The G-Train" (avec Monday Midnite en 2000) et "The mariachi" (en 2000 également, mais cette fois avec le retour de Ya Kid K). Puis, il y a eu deux derniers singles "Runaway blues" (2001) et "The circle unbroken" (2002)
Leurs 2 plus gros tubes ("Pump up the jam" et "Get up") ont été remixés et repris plusieurs fois. Notamment, par D.O.N.S en 1998 et en 2005, par Milk & Sugar et par les Global Deejays en 2006. Dernièrement encore, "Pump up the jam" a été remixé par Peter Luts ; une reprise décalée est également signée par The Lost Fingers.
Depuis 2000,
MC Eric a eu un certain succès en Angleterre avec son nouveau projet jazz-soul qu’il a appelé
Me One, dans un style très éloigné de Technotronic.
Les deux figures historiques du groupe (Ya Kid K et MC Eric) se sont réunis en 2009 et ont tourné à nouveau en Belgique, Europe de l’Est, Amérique du Sud et en Australie pour fêter le 20ème anniversaire de Technotronic.
Sa prestation dans le show The Legends 90s :
22h10.
Bernard Minet présente
MC Eric. Le MC anglais de Technotronic commence son mix, qui sera oldskool comme il nous la confié avant la soirée. "Let there be house...and house music was born !" le vocal légendaire, présent sur le "Can you feel it" de Mr. Fingers, est bien introduit.
MC Eric enchaîne ensuite "Devotion" de Nomad, du "Run DMC" ainsi que le "Gypsy woman" de Crystal Waters. Dans son dj set house très clubby, il n’oublie pas de mixer les tubes du groupe belge
Technotronic :
Get up (Before the night is over) et
Pump up the jam. A plusieurs reprises, le très grand monsieur quitte brièvement ses platines afin d’effectuer de petits raps. "Are U in the mood to party now ? I’m the original member of Technotronic" précise-t-il en passant à un autre disque.
Puis, MC Eric diffuse un message vocal enregistré par la rappeuse
Ya Kid K, qui figure sur beaucoup de singles sortis par
Technotronic. Le dj/rappeur nous a confié en coulisse que ses relations étaient toujours difficiles avec la mère de son fils. C’est pour cette raison que la rappeuse n’est pas présente à Arles ce soir même s’ils se sont retrouvés, il y a quelques mois, pour quelques galas sous le nom de Technotronic.
"Thank U so much" dit-il pour ponctuer son set alors que l’animateur de la soirée,
Bernard Minet, revient sur scène pour annoncer que les organisateurs ont prévus une pause de 10 minutes. La musique est coupée, durant ce laps de temps, avant de reprendre avec le "I like to move it" de Reel 2 Real.
Snap
Consultez la présentation du groupe
Snap ("The power", "Rhythm is a dancer"...) dans notre article sur leur participation à
I love the 90s (Belgique) en avril 2008 .
Le groupe
Snap était à cette occasion représenté par Thea Austin, la vraie chanteuse du tube "Rhythm is a dancer" aux côtés du rappeur Turbo B. L’américaine avait d’ailleurs contribué à l’écriture de cet hymne eurodance.
Un autre duo représente actuellement le groupe Snap. Il s’agit de la chanteuse
Penny Ford et du rappeur
Benjamin Lowe (Stoli Michaels).
Après avoir accompagné de grosses pointures de la musique noire américaine telles que Chaka Khan, Kool and The Gang et George Clinton,
Penny Ford intègre le groupe Snap au début des années 90 et chante sur les 5 premiers singles de ce projet musical allemand. Elle est la vraie chanteuse de leur tube "The power" même si elle a été remplacée par Jackie Harris dans le clip. Penny a ensuite sorti les singles solos "Daydreaming" et "I'll be there" en 1993. Au milieu des années 80, elle avait enregistré les singles "Uh, Oh, I made a mistake" et "Change your wicked ways".
Quant à
Benjamin "Stoli" Lowe, il ne représente le groupe Snap que depuis 2007. Ce rappeur joue de son côté sexy. A ce niveau, il est forcément beaucoup plus svelte que le véritable rappeur du groupe : Turbo B. Celui-ci fait également quelques scènes en ce moment. Il a notamment participé à la troisième édition du "We love the 90s" en Allemagne le 29 mai dernier.
Pour en revenir au duo actuel,
Penny Ford et
Benjamin Lowe étaient le 1er août à l’Amnesia d’Ibiza (Espagne), et seront au MAD Club de Lausanne (Suisse) le 17 septembre 2010 et au Festival 90s de Benevento le 18 septembre 2010.
Un megamix des plus grands tubes de Snap est sorti en 2010, ainsi qu’un best of.
Bernard Minet revient sur la scène pour nous annoncer la venue d’un grand nom de la dance music. Il s’agit du groupe
Snap qui entame sa prestation à 23 heures. Pour ce premier morceau, la chanteuse arrive seule sur les premières notes jouées à l’orgue.
Penny Ford rappe sur ce hit intitulé
Do you see the light. Il s’agit d’un très bon titre de Snap qui avait été coécrit, dans sa première mouture ("See the light" présente sur l’album "Madman’s return"), par cette chanteuse américaine, avant d’être entièrement remodelé pour sa sortie single.
Benjamin Lowe arrive sur la scène de Legends 90s pour rapper sur
The power, deuxième morceau de la soirée et l’un des deux plus gros tubes de Snap. Ce morceau fait monter encore d’un cran l’ambiance parmi les spectateurs réunis dans le Théâtre Antique d’Arles.
Le groupe basé en Allemagne poursuit sa prestation avec deux titres co-signés par Penny Ford elle-même au début des années 90. Il s’agit de
Cult of Snap et ses rythmes africains et flûtes arabes, puis du délirant
Ooops up. Le duo
Snap termine sa prestation en beauté avec leur énorme tube mondial
Rhythm is a dancer à la plus grande joie du public venu assister à ce revival 90s.
Gala est en coulisses avec ses musiciens et son danseur. Elle nous a confié qu’elle sera de retour à Paris pour une date en cours de planifications dans le courant du quatrième trimestre 2010. Elle a su rester simple et a été très sympathique avec nous.
Le dj
Rocco reprend les platines pour jouer le "Barbie girl" d’Aqua et "The rhythm of the night" de Corona. Bernard Minet annonce la venue imminente d’Haddaway et du groupe Worlds Apart... que nous rejoignons en coulisse pour quelques photos. Le trio est venu accompagné de quelques amis, de certaines de leurs femmes et de leurs enfants. La complicité est au rendez vous entre les trois jeunes hommes, surtout quand il s’agit de conseiller à Nathan quel t-shirt il va enfiler ce soir.
Gala
Consultez la présentation de la chanteuse
Gala ("Freed from desire", "Come into my life"...) dans notre article sur sa participation à
I love the 90s (Belgique) en avril 2009 .
Sa prestation dans le show The Legends 90s
A 23h40,
Gala fait son entrée sur scène sous les applaudissements du public. "Je vais bien" dit-elle en français à ses fans contents de la revoir. Accompagnée de 3 musiciens, la chanteuse d’origine italienne précise qu’elle commence par a new song
Different kind of love, un titre pop-rock plein d’énergie.
"La prochaine chanson, tu la connais bien et tu dois la chanter avec moi !" lance-t-elle toujours en français. Il s’agit de son tube
Come into my life, revisité dans une version rock. Seul un bref passage de la mélodie est diffusé dans sa version dance.
Pour la chanson suivante, son méga-tube
Freed from desire,
Gala est accompagnée d’un danseur, Omari, pour une chorégraphie survitaminée. Toujours aussi magnifique, la chanteuse basée à New York poursuit avec "my new single is more rock... But I know you will love it !" Il s’agit de
Tough love, titre éponyme de son nouvel album qui met superbement sa voix en valeur. Son danseur revient sur ce titre dans une nouvelle tenue rouge et noire.
Bernard Minet remercie
Gala puis plaisante avec le dj en lui offrant la ceinture que la chanteuse a retirée au cours de sa prestation.
www.galasound.com
Haddaway
Consultez la présentation du chanteur
Haddaway ("What is love", "Life", "Rock my heart"...) dans notre article sur sa venue à
We are the 90s (Paris) en février 2010 .
Fin 2009, une nouvelle version de son célèbre tube, intitulée "What is love 2K9 (Klaas Meets Haddaway)", a bien fonctionnée dans les clubs et s’est hissée parmi les 10 premières places du Top 50 français.
En 2010,
Haddaway a sorti sa nouvelle chanson "You gave me love" sur toutes les plateformes de téléchargement.
Sa prestation dans le show The Legends 90s :
00h05. Bernard Minet annonce la venue d’
Haddaway, l’une des plus belle voix de l’eurodance, en listant toutes les prestigieuses récompenses reçues par le chanteur durant sa carrière.
Haddaway débute avec
Fly away, le premier tube extrait de son second album "The drive". Le tempo de ce morceau est très rapide et met de suite les aficionados d’eurodance dans l’ambiance. Le chanteur enchaîne avec son hymne
What is love parmi la fumée, décidément très épaisse. Sur le site YouTube la vidéo du clip a été vu plus de 32 millions de fois.
Avant de chanter un troisième morceau, l’artiste basé en Allemagne présente la chanteuse suédoise qui l’accompagne ce soir. Il s’agit de
Veronika Färestål (
www.myspace.com/verahmyspace) avec laquelle nous avons rapidement échangé sur le Melodifestivalen en coulisse.
Cette jeune suédoise, qui accompagne occasionnellement
Haddaway fait quelques cœurs sur
I miss U la ballade qu’Haddaway chante ensuite tout en faisant signe à la régie de régler ses retours. C’est une chanteuse que nous découvrons car depuis quelques mois, il était surtout accompagné de la magnifique
Malin Sundström.
Haddaway demande à
Verah de prononcer quelque chose en français avant de passer à son autre tube
Life. Mais elle ne parle pas vraiment notre langue et ne dira seulement que les sommaires "Comment allez-vous", "Bon appétit" et bien sûr la phrase la plus coquine que les étrangers savent dirent dans notre langue "Voulez-vous coucher avec moi" ...avec un retour immédiat de la gente masculine présente au Théâtre Antique.
Après son autre tube
Rock my heart, Haddaway termine son passage à Arles en chantant la nouvelle version de son plus gros succès
What is love remixé par Klaas.
Haddaway confie ensuite, lors de son interview aux caméras de Move TV, qu’il préfère à ce remix la nouvelle version No love, enregistrée par les rappeurs américains Eminem et Lil Wayne.
Site officiel d'Haddaway
Worlds Apart
Leurs tubes dans les 90s :
Ce boysband anglais commence doucement sa carrière dans son pays en 1993 avec les hits "Heaven must be missing an angel", "Wonderful world" et "Could it be I'm falling in love" .
En 1995, les
Worlds Apart percent en Allemagne avec "Baby come back" une production du groupe Masterboy. Ils enchaînent avec "Everybody" en 1996. Ces deux titres seront aussi des succès en France. Pour renforcer ce succès, le groupe chante en français et reprend "Je te donne" le tube de Fredericks / Goldman / Jones en 1996. Il cartonne sur notre territoire et le quatuor, désormais composé de Nathan, Steve, Carl et Schelim, enregistre un autre single en français en 1997 "Quand je rêve de toi".
Suite au départ de Schelim et à l’arrivée de Tim, leur troisième album "Don't change" est réédité avec notamment l’inédit "Je serai là" et le très pop "Back to where we started" qui arbore un nouveau style plus pop.
Depuis la fin des 90s :
En 2000,
Worlds Apart revient avec leur quatrième album "Here and now" et leur single "I will". Mais, l’époque des boysbands est révolue et le succès n’est plus au rendez vous.
Le groupe, désormais un trio en raison du départ de Tim, enregistre un nouvel album "The brotherhood" en 2002 mais dont la diffusion restera très confidentielle.
En 2007, les
Words Apart sont de retour en France avec leur best-of "Platinum". Il contient des chansons inédites et un nouveau single, "On écrit sur les murs", une reprise de Demis Roussos.
Leur prestation dans le show The Legends 90s :
00h30
Bernard Minet revient sur scène et commence par remercier les organisateurs, la ville d’Arles ainsi que le journal La Provence qui lui a consacré un article à l’occasion de cette soirée.
Dans sa présentation du groupe suivant,
Worlds Apart, Bernard Minet souligne leur gentillesse en précisant qu’il avait trouvé sympathique le message laissé sur leur site internet en l’honneur de Filip (2 Be 3) lorsqu’ils ont appris son décès.
Le dj fait monter la pression parmi les fans qui attendent depuis plusieurs heures leurs idoles. Il enchaîne les morceaux "Partir un jour" (2 Be 3), "Baïla" (Alliage), "It’s alright" (East 17) et "Step by step" (NKOTB)... sous les cris hystériques des admiratrices de ces beaux garçons.
Nathan,
Steeve et
Cal arrivent sur la scène de
Legends 90s. Ils commencent par leur hit
Everybody et leur célèbre chorégraphie de l’époque. Et maintenant une chanson en français ! Après de nouveaux cris (interminables), Nathan invite les filles à chanter avec eux la chanson
Quand je rêve de toi, car ils ne maîtrisent pas totalement le français.
Ils s’en sortent bien et c’est finalement leur gros tube
Baby come back de prendre le relai. L’introduction est faite a cappella et en chœur avec leurs admiratrices. Les
Worlds Apart font ensuite un second titre dans notre langue. Il s’agit de la reprise de Jean-Jacques Goldman
Je te donne sur lequel Nathan ira au contact des spectatrices les plus chanceuses.
Après une nouvelle reprise (également enregistrée par Sandra, Gloria Estefan, Scooter...) de
Everlasting love, les garçons simulent un faut départ.
Bernard Minet revient alors demander Vous en voulez une autre ? Alors il faut faire du bruit pour
Nathan, Steeve et
Cal !
Le trio britannique fait son retour sur la scène installée dans le Théâtre Antique.
Nathan demande aux fans de chanter avec eux
Je serais là, autre titre de leur répertoire francophone sur lequel
Cal Cooper fait monter son fils sur scène. C’est après une demi-heure de spectacle que les garçons rejoignent les loges avant de repartir en famille.
Vous pourrez sûrement les revoir en France prochainement.
Nathan Moore a d’ailleurs donné plusieurs concerts en solo au Gibus (Paris) le 26 janvier 2010 et à l’Archipel (Paris) le 17 octobre 2009.
Site officiel des Worlds Apart
1h10.
Bernard Minet revient sur scène chanter un dernier titre. Il s’agit du générique du dessin animé
Capitaine Flam de son ami Jean-Jacques Debout. Bernard remercie encore les organisateurs de
Legends 90's et le public présent ce soir. Celui-ci quitte le Théâtre Antique sur le dernier titre de la soirée "Je ne veux pas travailler" de Pink Martini...en espérant peut être revoir prochainement ces artistes pour la tournée
Legends 90's actuellement en préparation.
Myspace de la soirée The Legends 90's
Un grand merci à
WeeMove pour les photos de la soirée. Retrouvez-en plus d'une centaine sur leur site. Et un merci particulier à
Alexom.