Britney Spears Femme fatale tour à Bercy (Paris - 2011)

L’agent secret est toujours à la recherche de la Femme fatale dans la suite du film qui fait alors un flashback sur les clips de la vedette américaine.

De gros caissons de basse sont emmenés sur la scène par une troupe aux tenues flashy et aux torses apparents. Sortant de l’un deux, Britney, dans une nouvelle tenue rouge et noire, fait son retour devant nous. Dans le film qui illustre Big fat bass, apparaît Wil.i.am des Black Eyed Peas, compositeur de ce titre présent sur le dernier album de Britney. Ce morceau est puissant et pourrait faire l’objet d’une sortie single.

Ce décor reste en place pour l’intro du titre suivant How I roll. Une voiture s’avance avec quelques danseurs à bord. L’un d’entre eux porte la star sur la voiture où elle va danser avec sa troupe à ses pieds. Puis, Britney s’approche avec 2 garçons pour une petite chorégraphie alors que certains éléments du décor retournent en coulisses.

Ses danseuses appellent un fan à venir la rejoindre à bord de la voiture. Kevin fait des jaloux car il a droit à une petite danse privée sur Lace and Leather. Alors qu’un musicien ponctue la chanson avec un solo de guitare, Britney, Kevin et les danseurs sont conduits en coulisse.







La star américaine revient très vite pour nous chanter If U seek Amy, ici réadaptée en version rétro. Ralentie, celle-ci n’est franchement pas très réussie. Britney danse sur ce titre et fait valser les frous-frous de sa robe blanche comme Marilyn Monroe sur sa bouche de métro. Poursuivie par une troupe de photographes des années 60, Britney évolue devant un visuel de unes de journaux.

Britney rejoint les coulisses alors que nous visionnons la suite du film dans lequel l’agent secret traque toujours la femme fatale. Le voyage se poursuit ensuite jusqu’en Egypte. Des pyramides blanches apparaissent sur les écrans tandis qu’elle fait son retour à bord d’une barque géante en forme d’oiseau du Nil. Un Britney Bitch retenti en introduction de Gimme more, ici totalement réarrangé avec des coeurs. L’idole se déhanche entourée de sa troupe aux tenues noir et or.

Le visage géant d’une figure égyptienne apparaît et quelques artifices sont projetés. Le tableau est réussi et très carré comme viennent symboliser les cadres portés aux visages par les danseuses.