Tout savoir sur "Les Muses Orphelines" (Spectacle)
Les Muses Orphelines
- 27/02/2005 by PARISGAYZINE
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Avec Emmanuelle Bougerol, Stéphanie Colonna, Magaly Dodenaire et David Macquart.
Vu en janvier 2005 au Théâtre Tristan Bernard (Paris - 8ème)
Cette pièce canadienne de Michel-Marc Bouchard, écrite en 1988, est l'une des pièces québécoises les plus jouées au monde (Canada, Allemagne, Belgique...). Le metteur en scène, Didier Brengarth, a conservé le texte avec ses expressions venues du Québec. La pièce garde ainsi ses rudesses et ses mystères. Le décor, composé de deux pans de murs, avec cuisine, espace commun et escaliers qui montent à l'étage, nous emmène dans une réalité rude d'une ferme de campagne coupée du monde.
L?histoire :
Trois soeurs et un frère, ont perdu leur père, tandis que leur mère les abandonne pour vivre le grand amour avec un Espagnol. Vingt ans plus tard, en 1965, Isabelle, la cadette simplette, convoque ses frère et soeurs dans la maison familiale de Saint-Ludger au Québec pour des retrouvailles mystérieuses. Catherine, l'ainée devenue une institutrice sévère, est restée au pays pour s?occuper de la benjamine attardée, Isabelle, qui demande les définitions de tous les mots qu?elle ne connaît pas ; Luc, écrivain excentrique de Montréal n'ayant toujours pas sorti le roman de sa vie, porte les robes espagnoles de sa mère ; Martine, homosexuelle assumée et engagée dans l?armée, arrive d'Allemagne en permission.
Ils se retrouvent dans un huis clos familial, sans trop savoir pourquoi ils sont là, à se rappeler le passé et à essayer de se parler. Chacun prend la mesure de ses blessures et de celles des autres. Sans compter le lourd secret de famille que chacun croit connaître et qui les hante. Aucun n'arrive à trouver la paix.
Notre avis :
L?interprétation des personnages est très remarquable. Emmanuelle Bougerol, dans son rôle d?idiote du village, nous a fait rire avec sa malice et sa capacité à émouvoir. Le dénouement est également surprenant.
Vu en janvier 2005 au Théâtre Tristan Bernard (Paris - 8ème)
Cette pièce canadienne de Michel-Marc Bouchard, écrite en 1988, est l'une des pièces québécoises les plus jouées au monde (Canada, Allemagne, Belgique...). Le metteur en scène, Didier Brengarth, a conservé le texte avec ses expressions venues du Québec. La pièce garde ainsi ses rudesses et ses mystères. Le décor, composé de deux pans de murs, avec cuisine, espace commun et escaliers qui montent à l'étage, nous emmène dans une réalité rude d'une ferme de campagne coupée du monde.
L?histoire :
Trois soeurs et un frère, ont perdu leur père, tandis que leur mère les abandonne pour vivre le grand amour avec un Espagnol. Vingt ans plus tard, en 1965, Isabelle, la cadette simplette, convoque ses frère et soeurs dans la maison familiale de Saint-Ludger au Québec pour des retrouvailles mystérieuses. Catherine, l'ainée devenue une institutrice sévère, est restée au pays pour s?occuper de la benjamine attardée, Isabelle, qui demande les définitions de tous les mots qu?elle ne connaît pas ; Luc, écrivain excentrique de Montréal n'ayant toujours pas sorti le roman de sa vie, porte les robes espagnoles de sa mère ; Martine, homosexuelle assumée et engagée dans l?armée, arrive d'Allemagne en permission.
Ils se retrouvent dans un huis clos familial, sans trop savoir pourquoi ils sont là, à se rappeler le passé et à essayer de se parler. Chacun prend la mesure de ses blessures et de celles des autres. Sans compter le lourd secret de famille que chacun croit connaître et qui les hante. Aucun n'arrive à trouver la paix.
Notre avis :
L?interprétation des personnages est très remarquable. Emmanuelle Bougerol, dans son rôle d?idiote du village, nous a fait rire avec sa malice et sa capacité à émouvoir. Le dénouement est également surprenant.
