Dance Machine au Zénith (Paris - 2011)

Le Zénith est littéralement transformé en discothèque géante. Les animateurs qui portent des perruques colorées annoncent Shelby Diaz et Patrick Clubcarter, c'est-à-dire le groupe Paradisio. Le producteur Patrick Clubcarter se charge de l’ambiance dès l’introduction : "Paris tu peux le faire, Paris, tu peux le faire...".

La chanteuse Shelby, qui a pris le look de l’époque avec sa perruque rose et sa robe argentée, interprète ensuite leur tube Bailando. Ils auraient pu poursuivre avec "Vamos a la discoteca", mais les organisateurs n’ont décidément pas prévus de rallonger la soirée, ce qui est un peu dommage quand on a un tel plateau d’artistes. A la fin de la chanson, des artifices étincellent la scène du Zénith.



Charly et Lulu veulent ensuite accélérer le rythme avec une star internationale qui est tombée amoureuse de la France ...grâce à un homme ! Nous découvrons Corona en hauteur sur la scène durant les premières notes de son hit I don’t wanna be a star avant qu’elle ne descende les escaliers pour rejoindre le devant de la scène. La grande italienne d’origine brésilienne fait ensuite chanter le public sur son tube mondial The rhythm of the night.




Charly et Lulu reviennent pour dire que "cette soirée était excellente mais qu’elle est désormais terminée". "C’est un poisson d’avril" comme précise Lulu... avec son humour manquant de finesse... mais non sans une certaine lucidité lorsqu’il précise que c’était à l’époque où nous étions les stars d’M6.

Les animateurs indiquent que l’invité suivant est un garçon fou qui a deux passions le camping et les soirées : Boris ! Une vidéo est alors diffusée avec des images du dormeur (tube de son premier groupe Pleasure Game) puis de son célèbre personnage Boris.

Lors de sa prestation épique et pleine d’énergie, Philippe Dhondt chante ses tubes Miss Camping et Soirée disco à la joie de tous les fans des années 90. Entouré de toute sa troupe, l’homme a ainsi su communiquer sa bonne humeur à un public nostalgique de cette décennie.




Les grandes stars de la soirée sont parmi les derniers à entrer sur la scène de Dance Machine après un petit film à leur gloire. Il s’agit du trio britannique Worlds Apart. Ils apparaissent devant leurs grandes initiales WA et sont acclamés par le public féminin qui ne les a vraiment pas oublié. Les écrans diffusent quelques images tirées de leur dernier clip "On écrit sur les murs" qu’ils ne chanteront pourtant pas.

Nathan, Cal et Steve interprètent leurs tubes Baby come back, Everlasting love et Je te donne, sur lequel ils n’hésitent pas à se faire aider par le public pour les parties en français.





Charly et Lulu remercient le public de cet accueil avant d’accueillir Hermes House Band. Le trio néerlandais fait son entrée sur scène sur des images du Mondial 98. L’hymne I will survive est bien sûr emprunté à Gloria Gaynor, tout comme le titre chanté précédemment par Larusso.




Toutes les stars de la soirée font leur retour sur la scène du Zénith pour chanter avec le public ce morceau.



Il est 23 heures 30 quand les lumières se rallument et nous devons alors revenir à 2011... année où vont encore se dérouler plusieurs Dance Machine.