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Die 90er Live on stage 2016

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Die 90er Live on stage 2016
Le 26 novembre 2016 à Mannheim la radio Sunshine Live organisait la quatrième édition de Die 90er - Live on stage. 2 Unlimited, Vengaboys, Masterboy, 2 Brothers on the 4th floor, Rednex, E-rotic, Interactive, Marusha et Charly Lownoise étaient convier à se produire devant 10 000 personnes.



19h20. Nous entrons dans l’enceinte de la Maimarkthalle de Mannheim. Nous découvrons la scène et les deux Game Boy géantes (et factices !) sur les côtés, juste au-dessus de l’espace où seront les spectateurs ayant acheté des places VIP. Il n’y a qu’un grand écran et deux grandes bâches ont été disposées en prolongement, les lumières y seront projetées.

Ambiance




Le niveau de la musique est bas pour commencer et jusqu’à l’arrivée de Dj Falk. A 19h45, le dj résident commence en jouant le "Vogue" de Madonna, et le "Coco Jamboo" de Mr President, groupe que nous espérons voir ici l’année prochaine… si la soirée est renouvelée car elle ne semble pas complète contrairement aux éditions précédentes.

20 heures. Les sosies des Spice Girls affrontent ceux des Destiny’s Child, puis les huit danseuses se rejoignent sur le "It’s alright" des East 17. Trois autres danseuses viennent pour la chorégraphie du premier clip de Britney Spears : "Baby one more time". On enchaîne avec trois autres filles qui dansent sur "Genie in a bottle" de Christina Aguilera… et le retour des six pour le "Herz an herz" de Blümchen, artiste que nous aimerions revoir mais qui se consacre actuellement à d’autres projets artistiques.

Ensuite, nous écoutons le "Rhythm is dancer" de Snap, que Sunshine Live pourrait également inviter en 2017, même si nous préférons voir des groupes plus rares sur scène, tels que Pharao, La Bouche ou Real McCoy. Sur le côté, nous apercevons Lyane d’E-Rotic dans sa veste en jeans. Nous sommes contents de la voir figurer au line-up de cette excellente soirée.

Six danseuses viennent pour la chorégraphie de la Macarena, puis deux autres nous font danser sur le Samba de Janeiro du groupe Bellini.

Dj Falk énumère ensuite le nom des artistes que nous allons applaudir tout au long de cette Die 90er - Live on stage, dont le volume 3 de la compilation officielle vient de sortir en CD.

E-rotic


20h30. Le réalisateur fait un plan de la scène filmée du fond de la salle, et montre ainsi que les spectateurs sont prêts à faire la fête !

E-rotic

E-rotic


Dans le petit film projeté, nous retrouvons le hérisson Sonic dans sa Trabant bleue. Ce personnage très célèbre dans les 90s, ouvre le capot de son véhicule pour le réparer. Il repart peu de temps après avec une jolie blonde alors que la sono diffuse le "Mr Vain" de Culture Beat, groupe allemand qui n’a d’ailleurs jamais été invité à cette soirée.

Un logo Love 90s apparaît et la voix off nous rappelle de bons souvenirs avec les photos d’Helmut Kohl, la série Friends, mais aussi les Simpsons et Hulk Hogan.

20h35. Sans voir le groupe, nous entendons ses voix en visionnons quelques images d’un des clips (animés) d’E-Rotic et les sonorités d’un de leurs tubes. Arrivés sur scène en s’adressant au public, Lyane Leigh Hegemann, voix originale du groupe, et Stephen Appleton, qui l’accompagne depuis 2015, commencent avec le plus grand tube d’E-Rotic, à savoir Max don’t have sex with your ex.

Sur les côtés, deux danseurs ont enfilé des costumes synthétiques représentant des pénis géants. Lyane et Stephen dansent tous les deux, mais c’est plus difficile pour la chanteuse avec ses hautes bottes à talons. Stephen, à la chevelure longue et ondulée, est très dynamique aux côtés de sa partenaire.

Avec son décolleté plongeant et dans sa tenue moulante et noire, Lyane poursuit avec Sex on the phone qu’elle chaîne avec Fritz love my tits alors que le jeune Stephen feinte de venir lui titiller les seins.

E-rotic


Quatre danseuses accompagnent le groupe sur Help me Dr. Dick, un titre euro-reggae, de la dance avec un tempo plus chaloupé. Lyane est plus à l’aise désormais et se lance a cappella d’abord avec le titre Gimme good sex pour nous montrer que c’est une vraie chanteuse. Ce titre est dans la même lignée musicale que le précédent, et marque un ralentissement au niveau des BPM.

Derrière eux sont, par moment, projetés quelques visuels extraits de leurs clips animés. Le groupe proposait en général cette imagerie en matière de vidéos clips et de pochettes de disques. Lyane nous invite ensuite à rejoindre le groupe sur sa page Facebook.

Avec Gotta get it groovin’, titre présent sur leur troisième album, le tempo s’accélère encore. Eux deux jouent encore plus la carte sexy, et ce d’autant plus que le jeune Stephen est maintenant en marcel gris ; craquant !

E-Rotic revient à ses grands classiques avec Fred come to bed (remix) qui est chaîné avec Willy use a billy... boy pendant que les danseuses offrent des préservatifs au public. Stephen ne rappe plus du tout sur ces titres-là et se contente de danser aux côtés de Lyane.

Lyane propose maintenant de chanter Video starlet leur dernier single, suivi de Murder me qui est un nouveau titre qu’elle interprète sur scène depuis 2015.

Lyane a fait le choix de chanter les premiers morceaux du groupe parce que ceux sont les plus connus, mais aussi par ce que c’est elle qui représentait E-Rotic avant de la laisser la place à d’autres artistes. L’allemande a quand même continué à enregistrer les voix pour le groupe durant plusieurs années.



21h10. Le dj lance le "Blue" d’Eiffel 65 alors qu’apparaissent à la suite plusieurs danseuses aux tenues improbables (cubes entassés, cellules roses, smiley…).

Sur "Freestyler" des Bomfunk MCs, ceux sont six demoiselles qui viennent danser en jogging. Avec toutes ces danseuses, nous aurions bien voulu voir quelques bons et sexy danseurs masculins. Nous le recommandons à la production pour l’année prochaine.

Dans la vidéo suivante, la bibliothèque des 90s est comparée à une Kindle ; le décalage est saisissant. Nous retrouvons aussi la rubrique Dr Sommer Team du magazine Bravo, des jouets, des CD de la collection Kuschel Rock, des dessins animés et des cassettes audio.

Twenty 4 Seven


Stay-C et Li Ann, chanteuse qui fait partie du groupe depuis 2010, commencent avec l’un des plus grands succès de Twenty 4 Seven, Slave to the music, qu’ils enchaînent avec Take me away, autre tube du groupe.

Dans leurs tenues blanches et rouges, veste en cuir pour lui / body bien moulant pour elle, ils assurent le show sur Keep on tryin’. Les grosses flammes nous chauffent encore aux premiers rangs. Ce titre est fondu avec Leave them alone, autre single tout en puissance.

Twenty 4 Seven

Twenty 4 Seven


Après We are the world et avoir aligné tous leurs tubes Eurodance, le duo néerlandais passe au happy hardcore avec If you want my love. Les 10 000 spectateurs jumpent dans la Maimarkthalle de Mannheim.

Stay-C échange quelques mots en allemand avec le public, avant de proposer deux medley 90s. Ils commencent le premier avec It’s my life (Dr Alban) pour lui, Rhythm is a dancer (Snap) pour elle (avec lui au rap), Show me love (Robin S), Pump up the jam (Technotronic) et Mr Vain (Culture Beat). Dans leur deuxième medley 90s, nous avons le droit à I like to move it (Reel 2 Real), Rhythm of the night (Corona), et l’hymne des clubs Maria (I like it loud).

Stay-C et Li Ann reviennent à leur répertoire avec le tube Is it love et continuent les reprises avec celles de LMFAO et leur Party rock anthem, puis de Beyoncé avec Run the world (Girls), sur lequel le duo nous montre à nouveau ses talents de danseurs.

Les Twenty 4 Seven quittent brièvement la scène. Il est 21h45 lorsqu’il leur est demandé de revenir pour reprendre Slave to the music en version techno.

C’est la deuxième fois que nous voyons Twenty 4 Seven sur scène et cela est toujours un plaisir. A quand la prochaine ?



Un rappeur vient assurer l’interval act avec deux danseuses, puis nous nous marrons en voyant le sosie de Mr Bean sur le tube de Scatman. Comme l’an passé, il multiplie les numéros de magie et danse aussi. Sur Mambo n° 5, il est même accompagné de 6 danseuses… intimidantes pour lui !

Rednex


21h55. Nous visionnons quelques images des clips de Rednex et écoutons leurs hits dans leur présentation.
22 heures. La salle de la Maimarkthalle est filmée par derrière alors que le public est plongé sous une lumière bleue.

Rednex


Les suédois arrivent et commencent avec Old pop in an oak qui n’est pourtant pas leur plus grand tube. La bande des quatre est accompagnée de 4 danseuses. Le public se voit offrir des tubes à néons pour égayer plus encore le show.

Parmi les membres du groupe, nous reconnaissons Whippy, Dagger, Joe Cagg (Roy van der Haagen) et Ace Ratclaw (Tor Ace Pentén), ces deux derniers ayant de longues dreadlocks. Les trois hommes portent chacun un instrument de musique. La chanteuse blonde est très grande et dynamique.

Le groupe poursuit avec le festif The way I mate sur lequel ils se mettent à la queue-leu-leu… ce qui est plus pratique pour nos photos, contrairement à lorsqu’ils s’agitent dans tous les coins… car avec les Rednex cela va souvent dans tous les sens.



Les Rednex nous jouent ensuite l’un de leurs plus grands tubes en Allemagne, The spirit of the hawk …dans une version dance méconnaissable (dommage !). Les Ya-hay ah mia oh wa-hey s’enchaînent et sont repris en cœur par le public alors que les grosses flammes reviennent de plus belle.

Joe et Ace agitent ensuite leur dreadlocks sur The devil went down to Georgia qui sonne plus comme un délire qu’un vrai single. Whippy et Dagger se sont d’ailleurs retirés quelques instants. Près de la fin du titre, celui-ci, toujours bien caché sous son grand chapeau, revient avec sa guitare. La chanteuse lui rappelle qu’ils « ont une nouvelle vidéo » et nous chantent alors leur plus récent titre : Innit fot the money.

Ils quittent la scène, puis reviennent en rappel avec l’indispensable Cotton eye joe, leur hymne international. Les flammes, là-aussi, embellissent le show. Les Rednex quittent la scène et on croit entendre un "See U next year ?" qui ne serait pas étonnant quand on sait que la production aime faire revenir les artistes d’année en année.

Dagger lui ne semble pas avoir envie de la quitter et reste près du dj pour reprendre, a cappella, le "We will rock you" de Queen. C’est dommage, Noël c’est dans moins d’un mois, et on aurait aimé entendre les ballades "Wish you were here" et "Hold me for a while", voire le plus dansant "The chase".

Le dj lance ensuite un Dj Bobo ; sur "There’s a party" il fait réagir le public avec des brides du titre d’Aquagen : "Ihr seid so leise". Il est 22h25, Sonic revient avec trois danseuses pour jouer aux cerceaux. Mario, lui, arrive ensuite et nous fait quelques pirouettes. La mascotte de Nintendo est suivie d’une blonde, de Browser, puis de Luggi. Ils dansent ensemble et nous font la chorégraphie de Michael Jackson. Sur ce "Black or white", un rapper vient montrer ses talents sur la partie originalement réalisée par L.T.B. (Bill Bottrell). Ensuite, ceux sont huit jeunes femmes qui se présentent pour danser sur le Run DMC, "It’s like that".

Vengaboys


22h40. Nous visionnons un film qui nous remémore la période d’AOL, des mix tape, des Game Boy et autres Tamagotchi, ainsi que David Hasselhoff… et nos fameux Vengaboys !

Les néerlandais font leur entrée sur une intro contenant un bon beat électro et des brides de We’re going to Ibiza. Ils arrivent dans leurs nouvelles tenues de scène inspirées du monde de la BD, pleines de bulles et onomatopées. On remarque le joli décolleté de (la jolie) Denise, et les tattoos de Donny, l’asiatique. Robin lui est remarqué pour son chant car il semblerait qu’il soit plus mis en avant. Il partage désormais le devant de la scène avec Kim, la leader du groupe. Tout le monde chante Shalalala avec eux.

Vengaboys


Sans prétention (aucune !), ils nous annoncent la “Best party of your life” et redémarrent avec le tube Boom boom boom boom. Leurs compatriotes de Twenty 4 Seven les regardent sur le côté. Le quatuor enchaîne avec Kiss (When the sun don’t shine), puis nous fait lever les bras sur Up and down.

Nous trouvons leur prestation bien meilleure que celle de l’an passé. La blonde parle du fameux Vengabus, puis ils nous chantent le tube We like to party avec un bon break avant la puissante reprise.

Avant de nous quitter, les Vengaboys nous proposent un medley (teck !) de reprises avec le I like to move it de Reel 2 Real et le Party rock anthem de LMFAO.

Leurs fans portent de beaux t-shirt "VNG BYS" et réclament très fort le retour de leurs idoles… qui sont de retour dès 23h05 pour nous chanter à nouveau leur classique Boom boom boom boom.



Il a manqué à leur setlist "My uncle John from Jamaïca", "2 Brazil" et "Hot hot hot" (joués ici en 2015), ainsi que "Where did my Xmas tree go ?" et "Rocket to Uranus". Il faudrait varier les amis !

Les mascottes de Nintendo, Mario & Luggi, sont de retour. Cette fois aux platines, ils nous font une battle en jouant chacun un hit dance, tandis que les techniciens installent le clavier de Masterboy. Nous écoutons alors les hymnes eurodance de Culture Beat, Aqua et Corona. Puis, la diffusion d’un petit film commence.

Luigi est sur un circuit automobile. Des Teletubbies sont au bord de la piste. C’est assez drôle et Sonic lance à nouveau son cerceau. C’est le dj Klubbingman qui fait ensuite son entrée sur le circuit automobile. Le dj de Sunshine Live, qui mixe la compilation "Welcome to the club", est avec son groupe Masterboy invité à cette soirée chaque année depuis ses débuts en 2013. C’est une voix off féminine qui nous annonce la venue du trio allemand.

Masterboy


Quatre danseuses entrent sur scène alors qu’Enrico, portant un t-shirt à l’effigie du groupe, est au clavier sur l’intro. Tommy arrive ensuite en costard-cravate, un look très chic mais surprenant pour une telle soirée ! Le leader sourit à Beatrix Delgado qui est la chanteuse du groupe, et elle-même venue en robe de soirée ; la classe quand on se rappelle son look lors des éditions précédentes.

Masterboy


Autre fait surprenant, c’est de voir Everybody needs somebody figurer dans leur setlist, une première semble-t-il. Le trio se rejoint autour du clavier d’Enrico qui donne même de la voix sur ce titre.

Les Masterboy poursuivent avec Generation of love, puis Tommy demande "Fire" mais c’est Anybody (Movin’on) qui vient… avec de grosses flammes qui complètent la mise en scène.

Sur le côté de la scène, nous nous réjouissons de voir Ray de 2 Unlimited boire une bière en regardant leur performance.

Masterboy

Masterboy


Les puissants BPM continuent d’être déversés sur Feel the heat of the night où Tommy retire sa veste. Le groupe est désormais très à l’aise, et se retrouvent plus fréquemment tous les trois autour du clavier.

Comme en 2014, Klubbingman invite maintenant, à les rejoindre sur scène, Linda Rocco, qui a été chanteuse du groupe entre 1996 et 1998, soit après le départ de Beatrix/Trixi. Les deux femmes se font la bise, puis Béatrix se retire pour laisser la place à Linda nous chanter Mr Feeling. La chanteuse n’est pas venue en tenue de soirée mais est plutôt une vraie cowgirl avec sa longue chevelure noire, sous un chapeau et une longue veste aussi sombre. Linda aime les chevaux et ne semble vouloir pour rien au monde quitter son nouveau look. Nous sommes très loin de celui d’il y a plus de quinze ans.

Contrairement à 2014, nous avons droit à un second titre avec Linda. Merci ! Il s’agit bien sûr de Show me colours. Cette dernière ne semble pas voir très clair car elle ne voit pas Béatrix s’approcher d’elle.

Ensemble, ils appellent Tommy à revenir sur scène ; le leader apparaît désormais en marcel (chic) à paillettes. Beatrix Delgado nous chante Land of dreaming a cappella avec des snipset de "No woman no cry", puis, leur titre est proposé en version dance. Tommy filme le groupe devant son public avec son smartphone.

Le groupe allemand, star de la dance des 90s, nous régale ensuite avec I got to give it up, et c’est maintenant Stay-C, de Twenty 4 Seven qui jette un oeil bienveillant, à droite de la scène.

Tommy parle de son envie de réaliser avec le public un mannequin challenge, le phénomène du moment sur les réseaux sociaux et qui consiste à se faire filmer en tenant une position figée et improbable. Après à peine deux minutes de silence, les programmateurs lancent direct le tube Is this the love que les Masterboy nous interprètent alors. Puis, nous avons le droit à Love message, en version trio seulement. Les Vengaboys regardent seulement sur le côté ; ils auraient pu être invités sur scène, mais cette année il n’était pas prévu de guest sur cette hymne pacifique et festif.

Nous ne savons pas si le mannequin challenge de tout à l’heure a été réussi, mais nous avons l’opportunité de le refaire… et la soirée prend du retard dans le programme annoncé. Le groupe suivant aurait dû être sur scène depuis près d’une demi-heure. Le groupe fait monter Christoph Werner, qui travaille sur l’évènement, afin de lui chanter son titre préféré. Linda Rocco se joint à eux également sur Just 4 you où les deux chanteuses de Masterboy s’embrassent à nouveau.



00h23. Le dj lance le tube "Barbie girl" sur lequel interviennent 4 danseuses. Les danois du groupe Aqua se retrouveront sur scène en 2017, nous aimerions bien les voir sur celle-ci ou ailleurs en Europe. Le dj enchaîne avec Haddaway (et son "What is love") qui était d’ailleurs présent dans la Die 90er live on stage 2014. Les Teletubbies débarquent sur scène et nous dansons sur le "Sweet dreams" de La Bouche (invités en 2017 ?) ainsi que les danseuses… et Mister Bean !

2 Brothers on the 4th Floor


00h30. Les 2 Brothers 4th floor sont annoncés par leur prénom par une voix off masculine. Deux danseuses arrivent sur scène tandis que l’on entend les vocalises de Des’Ray depuis l’arrière scène. Une fois apparue devant le public, Des’Ray est accompagnée de son complice historique, D-Rock, mais aussi de Masta Ez qui les accompagne parfois, et ce depuis 2013. Ils nous chantent les tubes Never alone et Dreams, suivi du hit Come take my hand, morceau également rapide et où les deux rappeurs se jaugent au micro.

2 Brothers on the 4th Floor

2 Brothers on the 4th Floor


Les 2 Brothers 4th floor poursuivent avec trois autres morceaux intéressants Mirror of love, There’s a key et The sun will be shining. Des’Ray remercie ses danseuses qu’elle présente, puis ses acolytes, avant de quitter la scène.

Il ne manque à l’appel que "Let me be free" et "Fly (Through the starry night)", le groupe faisant l’impasse sur "Can't help myself" et "Turn da music up", enregistrés par un autre duo.



1h05. Les danseuses portent des masques des Simpson sur le "Too sexy" des Right Said Fred. Sur Fire de Scooter, les Tortues ninjas apparaissent, puis dansent ensemble sur "U can't touch this" de MC Hammer. Dj Falk nous joue l’hymne "Insomnia" de Faithless auquel il ajoute la voix "Ihr seid so leise" d’Aquagen, par moment mixé avec l’efficace "Put your hands up". Le beat est prenant et cela fait monter la pression surtout que les beaux lasers continuent de quadriller les airs.

L’attente paraît anormalement longue sur le "Bellisima" de Dj Quicksilver. On se pose la question de savoir si les 2 Unlimited vont bien se produire devant nous ce soir, et ce d’autant plus que c’est la dernière fois que Ray & Anita devraient se produire ensemble en tant que 2 Unlimited. Et ce n’est pas fini, parce que le dj lance maintenant un Darude ("Feel the beat" ou "Sandstorm" ?) sous les lasers et les flammes. Après le "Da beat goes" de Red 5, Dj Falk annonce la liste des artistes qui reste à se produire ; l’espoir reprend quand nous entendons le nom (magique) du duo néerlandais.

1h25 on aperçoit Ray en solo sur le côté, mais l’attente se poursuit. On revoit aussi Mr Bean sur scène. Le film vidéo est lancé ensuite …mais sans le son ! Comment cela va-t-il décidément se passer ?

2 Unlimited


2 Unlimited


Voir notre article dédié au dernier concert de Ray & Anita.

Interactive


2h05. Alors que se trouve également sur les côtés deux danseurs avec un gros costume en leds, le duo Interactive prend place au centre de la scène. L’un est le dj, au clavier également, et l’autre est plutôt au clavier et au micro. Ils jouent résolument techno. Avec eux, on se croirait en plein Mayday ou à la Love Parade.



Le duo allemand se reforme pour l’occasion avec Ramon Zenker et Markus Geutner, après quelques années de séparation puisque le groupe était actif entre 1990 et 1998.

Nous rentrons nous coucher sans attendre les dj sets du néerlandais Charly Lownoise et de l’allemande Marusha.

MAJ : Sunshine Live a annoncé le lendemain que la cinquième édition se tiendrait le 25 novembre 2017.

Nous espérons y voir Pharao, Real McCoy, La Bouche, Mr President, BG The Prince of Rap, Technotronic, Daisy Dee, ou bien Nana, C-Block, Brooklyn Bounce, 666, Activate, Aqua, Double You et E-Type… et aussi, mais dans une moindre mesure, les groupes Snap, Culture Beat ou les artistes Dr Alban et Ice MC.

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