Notre article "Die 90er Live on stage 2015 (Shows 90)
Eurovision Ohlala! Agenda Clubbing MAP GAY PARIS resto bars shopping club cruising sex Agenda Concert Nouveautés musicales Album Single Associations gay LGBTQIA+ Eurovision

Die 90er Live on stage 2015

  • by
Die 90er Live on stage 2015
Nous faisons une nouvelle virée à Mannheim en ce samedi 28 novembre 2015 pour la troisième édition de Die 90er Live on Stage. La radio Sunshine live a réuni dans la Maimarkthalle : Captain Jack, Fun Factory, Masterboy, Vengaboys, 2 Unlimited, Dj Sash, Charly Lownoise & Mental Theo et Alex U96 Christensen.

Une salle pleine pour cette soirée 90's


Arrivés vers 19 heures, nous patientons avec du C-Block (So strung out), de l’euro-rap et du Inner Circle alors que le public arrive petit à petit.

20 heures. Die 90er Live on stage commence avec Dj Falk qui plaisante de ses problèmes techniques. Une fois ceux-ci réglés, il lance Rozalla (Everybody’s free), Maxx (Get-a-way), Playahitty (Summer is magic), BG The Prince of Rap (The colour of my dreams), artiste que nous aimerions voir ici l’an prochain. Deux danseuses se pointent ensuite avec deux danseurs de freestyle, pour une série musicale de freestyle justement.

Le dj nous passe ensuite du Culture Beat (Mr Vain), Corona / Ice MC (The rhythm of the night), Dj Quicksilver (Bellissima), et une seconde fois "Vogue" (Madonna venant à la SAP Arena de Mannheim demain soir !), Mr President avec Coco Jamboo (on les veut ici en 2016 !), N-trance (Staying alive), Snap avec "The power" (bientôt invités également ?). Le dj poursuit avec Backstreet Boys (Backstreet’s back) et Zombie Nation avec "Kernkraft 400" à 20h55 quand le mix prend fin.

Les deux animateurs du show ne seront pas là ce soir, mais ils figurent dans une vidéo tournée pour l’occasion. De retour dans le passé, ils apparaissent aux côtés de Captain Jack qui danse la "Macarena" dans la vidéo, avant de venir se présenter devant nous.



Résumé du concert de Captain Jack


Le premier groupe à venir sur scène est Captain Jack. Il ne s’agit pas de notre groupe préféré ; d’autant plus que nous les avions déjà vus ici il y a deux ans. Bruce Eric Lacy et Michelle Stanley s’en sortent pourtant pas mal, et ce, dès l’intro, entourés d’une dizaine de danseuses aux pas de danse militaire. Après le titre éponyme, nous avons le droit cette fois à l’excellent Little boy, qu’ils avaient zappé en 2013.C’est cool ! Mais nous n’avons toujours pas le droit à "Together & Forever" ; dommage !

Bruce porte un costume beige assorti à un couvre-chef rouge. Michelle, chanteuse du groupe depuis 2012, n’a pas du tout un look militaire, mais est déjà prête pour la Saint-Sylvestre avec ses paillettes ! Ils alignent ensuite leurs tubes et les reprises festives, à l’instar de Centerfold, Iko Iko (et ses "Hooray hooray it’s a holi-holiday"), Soldier soldier, Drill instructor, Volare, Give it up…

concert de Captain Jack


Après qu’elle ait remercié le public avec un vocabulaire explicite ("Danke schön fuckin’…"), Bruce lance à "Michelle un You are in fire ! Mama wo bist du ? Happy birthday to Michelle’s mama !" Il nous fait alors chanter un “Happy birthday to you” pour l’anniversaire de la mère de la chanteuse… "Kinder der 90s, levez les mains ! Je commence, vous finissez : "What is love", "Coco Jumboo"," Who let the dogs out"… Nous retrouvons ensuite les dix danseuses sur "Maria (I like it loud)" en version electro mixé au "I like to move it".

concert de Captain Jack


Bruce annonce la venue imminente de Fun Factory avant de nous chanter Captain Jack une seconde fois avec les dix danseuses. Il est 21h45 lorsque le groupe nous fait un salut militaire en guise d’au revoir.

Setlist :
Captain Jack
Little boy
Ceinterfolds
Iko Iko
Soldier soldier
Drill instructor
Volare
Give it up
Maria I like it loud / I like to move it
Captain Jack

concert de Captain Jack


Dj Falk fait son retour aux platines, tandis que cinq danseuses investissent la scène, emmitouflées dans leurs cubes colorés. Nous écoutons "Tears don’t lie" de Mark Oh, dj qui était d’ailleurs là il y a deux ans.
Les sosies des Spice Girls viennent ensuite nous chanter "Wannabe", avant que les cinq jeunes femmes nous fassent également la chorégraphie du "Bye bye" des N’sync.

Captain Jack se retrouve à nouveau à bord du vaisseau spacial avec les deux animateurs. Dès que ceux-ci aient bu les boissons offertes, ils se transforment en Luigi et Mario… puis disparaissent peu avant que la voix off féminine ne nous annonce la venue des Fun Factory.

Résumé du concert de Fun Factory


Nous voyons ce soir les Fun Factory pour la première fois sur scène. Il faut dire que, depuis le départ de Toni Cottura, Rod D, Marie-Anett et Steve en 1997, plusieurs line up différents se sont succédé entre 1998 et 2014, avec de jeunes artistes interchangeables. Depuis octobre 2013, Smooth T. (Toni Cottura), Steve (Stephan Browarczyk), Balja (Balca Tözün) et Ski (Anthony Freeman) se produisent sous le nom de The Originalz, avant de récupérer le nom de Fun Factory un an plus tard.

Pour la mouture actuelle de Fun Factory, Toni et Steve ont donc appelé à leurs côtés Balja (qui assurait déjà les voix à la place de la française Marie-Anett dans les années 90) et Anthony Freeman (ex-membre de Jonestown).

Sur la scène de Mannheim, le quatuor commence avec I wanna be with you et Don’t go away, deux titres tranquilles avant de passer à l’a cappella de "Ready or not" pour Balja, et à du beatbox pour Toni sur "Boom boom boom" et "Here comes the hot stepper".

concert de Fun Factory


L’eurodance de Fun Factory arrive enfin avec Take your chance sur lequel les garçons nous font une chorégraphie tout en puissance. Tout le groupe porte des tenues sportswear, dont les fameuses baskets blanches pour lesquelles ils ont tous opté. Balja a choisi un long t-shirt vert des Celtics, tandis que les garçons portent leur t-shirt noir à motifs.

S’en suivent "Stand by me" a cappella, et "I like to move it" en beatbox, avant de passer aux hits festifs Celebration et Doh wah diddy, puis le retour de l’eurodance se fait avec leurs tubes Pain et Close to you.

concert de Fun Factory


Balja ne chante en live que les a cappella, tandis que Toni assure les raps, mais pour certains non sans difficulté. Toutefois, cela aura été sympa de les voir sur cette scène, même s’il aura manqué leur premier succès "Groove me", et leur tout récent single "Let’s get crunk", qui n’est pourtant pas mal du tout.

Pour info, les Fun Factory sont venus deux fois en 96 à Bercy dans le cadre de Dance Machine.

Setlist :
I wanna be with you
Don’t go away
Take your chance
Celebration
Doh wah diddy
Pain
Close to you

concert de Fun Factory


22h40. Dj Falk revient aux platines, mais il n’est pas seul sur scène puisque Luigi & Mario, du célèbre jeu vidéo de Nintendo, entrent sur "Over the rainbow". Ils sont suivis d’une naïade en combinaison et de Mister Bean qui leur apporte une pizza. Le tableau se poursuit avec les Tortues Ninja qui se battent contre un ninja au son de "Get freaky".

Résumé du concert de Masterboy


Il est presque 22h50 lorsque Captain Jack réapparaît dans un petit film. On le voit jouer à Hugo Délire, puis c’est Tommy Schleh, aka DJ Klubbingman, qui apparaît et lui répond dans un court message en vidéo.

Une voix off, féminine, nous annonce la venue de Masterboy. Enrico est le premier à entrer sur scène et à s’installer derrière ses claviers. L’intro se fait sur le Masterboy theme avant que Tommy et Beatrix Delgado (Trixi) n’entrent pour Generation of love sur lequel jaillissent de grosses flammes.

Deux danseuses blondes accompagnent le trio. Tommy arbore son look habituel, le noir, avec cette fois-ci un pantalon blanc. Beatrix a revêtu un nouveau look avec un voile blanc par-dessus son corset bordeaux, ouvert pour un décolleté plongeant, et un bonnet noir avec une grosse étoile.

Le trio est seul en scène pour Anybody que les membres concluent avec un "Guten abend, we are back to the 90s !" Puis, ils poursuivent avec les excellents Feel the fire et Mr Feeling, en playback malheureusement.

Les deux danseuses sont de retour avec eux pour Feel the heat of the night, leur plus gros tube qui bénéficie de grosses flammes, puis, sur Land of dreaming. Le tempo ralenti pour ce titre d’abord chanté a cappella (Beatrix chante quand même en live sur ce passage) puis en version dance.



Beatrix Delgado prend la parole pour nous demander d’applaudir le leader du groupe : "applaudissez Klubbingman, this man is…", puis elle enlace Enrico avec lequel elle se félicite d’entamer une troisième année depuis la reformation de Masterboy. Le trio est uni et nous annonce être actuellement en studio pour de nouvelles chansons pour l’an prochain. Yeah !

Trixi annonce maintenant sa chanson préférée du répertoire de Masterboy. Il s’agit d’I need a lover tonight, qui devance ce soir deux autres tubes du groupe : I got to give it up et Is this the love ? sur lequel Enrico assure le playback, son clavier au bras.



Enrico appelle maintenant le groupe Fun Factory, à revenir sur scène, pour la collégiale de Love message qui vient conclure la prestation de Masterboy, sous une pluie de confettis vers 23h45.

Masterboy n’a pas évolué dans leur proposition scénique, puisqu’il manquait toujours à leur setlist "Everybody needs somebody" et "Baby let it be", pourtant très bons.

Setlist :
Masterboy Theme
Generation of love
Anybody
Feel the fire
Mr Feeling
Feel the heat of the night
Land of dreaming
I need a lover tonight
I got to give it up
Is this the love ?
Love Message (avec Fun Factory)



Die 90s live on stage se poursuit avec le logo de Sunshine live et un jingle. Nous fredonnons le "Love and marriage" de Frank Sinatra qui illustrait Mariés deux enfants. Nous retrouvons sur scène Luigi et Mario, ainsi que leur ennemi jaune, Bowser. Il y a aussi une grosse poupée gonflable qui nous salue. Les filles dansent le shuffling avec des bâtonnets réfléchissants. Luigi pleure ensuite car Mario est parti avec la femme enrobée ; heureusement, la blonde se prenant pour Pamela Anderson vient le chercher lui aussi. Tout se termine bien dans cette scénette.

A 23h50, nous nous remémorons en images la Love Parade, la Gameboy, le magazine Bravo, les torses nus des Take That et la chaîne musicale Viva.

Résumé du concert de Vengaboys


Le Vengabus arrive maintenant à Mannheim. Le quatuor néerlandais démarre avec We’re going to Ibiza sur lequel le groupe nous fait la chorégraphie. Les quatres complices sont comme toujours bien lookés. Kim porte une tenue bleue et noire. Denise, quant à elle, a choisi un corset jaune agrémenté de rubans colorés. Donny est en cowboy, tandis que l’autre garçon porte un uniforme noir.

Avec ses gros bras tatoués, Donny, l’asiatique, intervient sur l’intro de Shalala lala et nous remarquons d’ailleurs que les deux mecs chantent aussi. Les lasers verts quadrillent cette grande enceinte bondée.

"Wie geht’s Mannheim ? demandent-ils. It feel so good to be back in Deutschland ! So geil !" lancent-ils avant Boom boom boom boom. Ils enchaînent directement avec Kiss (when the sun don’t shine) qui, bien sûr, est lui aussi chorégraphié. Malheureusement les voix (en playback principalement !) sont trop basses.

Nous apercevons Captain Jack dans l’espace VIP sur le côté alors que le groupe nous chante My uncle John from Jamaïca, puis Up and down leur premier tube avec lequel les Vengaboys ont explosé dans le monde entier.

La chanteuse blonde est seule en scène et fait revenir le groupe pour leur tube We like to party sur lequel chacun enchaîne sa petite chorégraphie.



L’asiatique parle big boobies Brasil avant que le groupe ne chante 2 Brazil, ressorti en 2014 dans une nouvelle version pour le mondial de football au Brésil. Puis, le quatuor passe à Hot hot hot, leur single sorti en 2013, avant de mixer le "I like to move it" de Reel 2 Real au "Party rock anthem" de LMFAO.

00h30. Kim revient nous dire combien ils sont fiers d’être ce soir aux côtés de Captain Jack, 2 Unlimited, Charlie Lownoise & Mental Theo, et nous demande de chanter avec eux. Une pluie de confettis éclate alors dès l’intro de Boom boom boom boom, morceau qui est donc joué une seconde fois ce soir.



Il est toujours plaisant de voir les Vengaboys, même si comme l’autre fois, nous ne sommes pas totalement emballés par leur prestation. Certes, il s’agit de bons danseurs, mais au chant, ils ne proposent rien de bien original alors que le groupe a du potentiel. De même, nous n’avons pas eu le droit à leur single de Noël (Where did my Xmas tree go ? sorti à l’hiver dernier), ni à Rocket to Uranus (2010).

Setlist :
We’re going to Ibiza
Shalala lala
Boom boom boom boom
Kiss (When the sun don’t shine)
My uncle John from Jamaïca
Up and down
We like to party
2 Brazil
Hot hot hot
I like to move it (Reel 2 Real) / Party rock anthem (LMFAO)
Boom boom boom boom



Après le retour du dj vers 00h35 et des danseuses pour une nouvelle chorégraphie, une battle oppose deux groupes féminins sur le It’s like that de Run DMC. Cinq danseuses restent danser sur le I like to move it de Reel 2 Real… et la voix off nous annonce le groupe suivant…

Résumé du concert de 2 Unlimited


Accompagnés de leurs deux danseuses, les 2 Unlimited font leur entrée vers 00h45 avec les tubes de leurs débuts Get ready for this et Twilight zone. Ray et Anita portent leurs nouvelles tenues de scène blanches.

Les néerlandais enchaînent avec The real thing, Spread your love, Here I go et No one. Le duo est particulièrement en forme, et nous donnent la meilleure prestation de la soirée.



A la fin de leur plus grand succès, No limit, Ray & Anita ajoutent un extrait du "Firestarter" de Prodigy, ce qui rend très bien. Ils enchaînent avec leur autre gros tube Tribal dance, joué dans sa version (de scène ; la 2.4 ?) habituelle, c’est à dire bien speed. Anita effectue la chorégraphie avec les danseuses sous une pluie de confettis. Le groupe mixe sur la fin sur les premières notes de Let the beat control your body que nous avons le droit en entier, juste avant leur tube au tempo le plus rapide, Jump 4 joy.



Ils remontent sur scène à 1h25 pour reprendre No limit une seconde fois ce soir. Le public les acclame comme à chacune de leur apparition.

Ray remercie ses deux danseuses qu’il nomme. Il est 1h30 lorsqu’ils nous saluent et nous disent au revoir.

Setlist :
Get ready for this
Twilight zone
The real thing
Spread your love
Here I go
No one
No limit
Tribal dance
Let the beat control your body
Jump 4 joy
No limit



L’actualité de 2 Unlimited, c’est également la sortie de la biographie de Ray (My unlimited life), un ouvrage disponible en néerlandais dès maintenant, et bientôt en anglais. Pour Anita, ceux sont les concerts qu’elle donne avec les Divas of Dance, son projet parallèle qui regroupe Desray de 2 Brothers on the 4th floor et Linda de T-Spoon ; Anita ayant retrouvé ses copines récemment.

Résumé du concert de Dj Sash


La voix off annonce la venue de Sash alors que les platines de dj, suspendues par des cordes, descendent du plafond. Deux grandes créatures à leds font leur entrée, avec une pieuvre blanche gonflable par-dessus eux, pendant que Sash s’installe aux platines.

"Mesdames, Messieurs… le dj Sash est de retour…" Encore une fois… Ecuador… Stay… retentissent dans l’introduction. Puis, Sash nous demande Are you ready to party ? avant que s’enchaînent les brides de Mysterious times… Movemania… Colour the world… Adelante… Just around the hill… With my own eyes ! Belle introduction pour le dj allemand qui prononce Mannheim avec sa voix vocodée.



"Let’s get ready to rumble !" Le public danse notamment sur Ecuador en version electro, "Mysterious times", le "No good" de Prodigy, "Insomnia" de Faithless et le Sandstorm de Darude. Il entrecoupe ses tubes tels qu’"Adelante" avec d’autres classiques du genre d’"Only house music" de Mr Jack.

Résumé du concert de Charly Lownoise & Mental Theo


Le duo néerlandais prend les platines (à quatre mains donc) et monte même debout sur la table de mixage. Charly & Mental nous font balancer des bras et sautiller sur le Wonderful days, du groupe Starplash dont Charly est l’un des membres.

Les deux compères alignent ensuite leurs tubes communs tels que Stars et Rainbow to the sky, mais aussi d’autres artistes tels que RMB (Spring) dans une même veine happy hardcore, et même du gabber vers 3h30.

Il est 3h40 lorsqu’Alex Christensen se prépare et rejoint les deux djs pour une photo.



Résumé du concert d'Alex U96 Christensen


3h50. Alex Christensen s’empare des platines à Mannheim avec un extrait de Club bizarre. Looké d’un catogan et d’un t-shirt avec une tronçonneuse fluo, le dj nous fait balancer des bras sur la mélodie de Das boot, dont il propose une version bien musclée. La mélodie bien connue des 90s réapparaît seulement sur le break.

Sous une pluie de confettis, Alex poursuit avec les tubes de U96, Night to remember et Love religion dans leur version classique, c’est-à-dire vocale. Il ajoute un remixe des 90s du tube Heaven et joue en entier cette fois le Club bizarre.

Le public est clairsemé à cette heure tardive mais le dj poursuit avec Das boot en version vocale (sûrement celle de de 2001), puis l’allemand enchaîne les autres tubes des 90s tels que ceux de Culture Beat (Mr Vain) et puis Felix (Don’t you want me) vers 4h25 lorsque nous quittons la Maimarkthalle pour aller nous coucher.

A noter que les autres membres de U96 viennent de reformer le groupe avec des titres inédits tels que "Dark matter", "Blood of the rose", "Run with it" et "Human cosmic".



La prochaine édition de Die 90er Live on Stage est annoncée par Sunshine Live pour le 26 novembre 2016. Nous déciderons si nous ferons le déplacement lorsque les têtes d’affiche seront révélées. Nous espérons plutôt Pharao, E-Rotic, Mr President, La Bouche, Brooklyn Bounce, Nana, C-Block… voire Blümchen ou Daisy Dee, l’ex-star de Club Rotation. Les organisateurs préfèreront peut être Culture Beat, Snap… ou feront encore revenir Masterboy, 2 Unlimited, Magic Affair ou Captain Hollywood ?

Salle et concert et Interval Act version 90's



Vos réactions / commentaires

D'autres sujets qui peuvent vous intéresser